Tiffany, LVMH et clause MAC

Christophe Perchet

Associé fondateur

« En préemptant la question de la MAC clause “avant l’heure”, Tiffany essayait-elle d’échapper au débat sur l’impact du Covid sur sa performance effective ? »

Face à la crise du Covid-19, les juristes se sont souvent concentrés sur la force majeure ou l’imprévision pour remettre en cause les contrats d’acquisitions. La MAC clause (material adverse change), souvent présente dans les contrats de droit anglosaxon, constitue un fondement souvent plus prometteur. Elle est d’ailleurs au centre des débats dans le dossier LVMH/Tiffany qui vient de prendre un tournant contentieux.

Analyse de Christophe Perchet, associé du cabinet Perchet Rontchevsky & associés.

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LJA n° 1461 du 5 octobre 2020

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